Frissons de frilosité parce qu’il fait froid à Sibiu ? Non, c’est bien les frissons de la foi qui m’ont saisi. Le frisson de sentir et de ressentir que l’on vit quelque chose qui nous dépasse. Frissons d’une confiance qui nous rejoint parce que l’on est en communion avec une Eglise Universelle, signe d’un œcuménisme sur la marche de l’espérance.
Dina Radafiarijaona.